•  

    Avec plus de cinq millions d'exemplaires écoulés, ce livre est l'un des best-sellers les plus appréciées de l'année 2004. Emprunt de spiritualité, il raconte l'histoire d'Edward, homme d'entretien d'une grande fête foraine, qui, à la suite d'un accident, meurt.

    Et la règle au Ciel est simple : on doit rencontrer cinq personnes, qui nous délivreront des leçons sur notre vie terrienne, pour mieux l'accepter et ainsi faire la paix avec nous-même. Dieu est mis de côté, on l'évoque à peine, ce qui compte, ce sont les cinq personnes, qu'on connaît plus ou moins bien, mais qui ont traversé et changé nos vies. Leur rencontre est toujours une surprise. Pourquoi eux ? A-t-on eu le choix ou ces gens ont-ils entièrement part à nos vies ?

    Une bonne leçon de vie contre l'individualisme, bien menée. Une découverte de la spiritualité sous un nouveau jour : croire collectivement, parce que tous nos destins sont liés.

     

    les cinq personnes que j'ai rencontrées là-haut, de Mitch Albom, Oh ! éditions 2004


  •  

    A quoi ressemble Béjart à travers le regard d’un photographe qui, avant d’être un ami cher, était déjà fasciné par l’artiste ? Marcel Imsand a réalisé son premier portrait (volé) du chorégraphe en 1964, lors de la venue du Ballet du XXe Siècle à Lausanne, treize ans avant que celui-ci ne s’y s’installe définitivement. En création, Béjart ne se départit pas d’une noble prestance émanant de son buste massif. En pointillés, le danseur se dessine à travers des mouvements de bras, des ports de tête, toujours quelque chose qui en dit long dans le regard. Dans ses yeux clairs, on devine à la fois une force tranquille et une ébullition intérieure.

    Son visage est déjà une signature d’artiste : les sourcils arqués et dramatiques, le nez busqué et volontaire. Ses mains, soulignées par le noir et blanc, en disent aussi long que son regard, tourné vers soi ou tendu vers l’autre. Avec les deux photographies qui ouvrent ‘Béjart secret’, Marcel Imsand donne à voir un chorégraphe concentré et intimidant (“L’homme à la rose”) et un homme au visage ouvert et rayonnant, deux façons d’être pleinement au monde. Entouré d’êtres chers, que ce soit Barbara, Lifar, ses danseurs au moment du salut, ou ses chatons, son visage s’éclaire. Marcel Imsand a enfin capturé quelques clichés de vie quotidienne qui ne parviennent pas tout à fait à dépouiller le personnage de sa majesté : une scène de marché, un moment de lecture tapi dans les coussins de son salon.

    Ce qui frappe, c’est que l’artiste n’apparaît jamais en décalage ; avec sa superbe gravité, il est toujours à ce qu’il fait, qu’il revête un costume de scène, médite sur un livre ou dirige un danseur. Un hommage photographique sensible, digne de son sujet.

     

    Béjart secret, de Marcel Imsand, Editeur : Favre, Publication :1/10/2007

     

     

     


  •  

    Dans le mouvement général en faveur des économies d'énergie, l'Union européenne a fait le choix de faire sortir progressivement les ampoules à incandescence, considérées comme trop gourmandes. Elles n’ont plus que quelques années devant elles, le temps d’écouler les stocks et de moderniser les chaines de production.

     

     

    Par quoi les remplacer ? Deux grands paramètres sont à prendre en compte : l'intensité lumineuse et la qualité de la lumière. La première se mesure en lumen. Il faut se référer à cette unité pour remplacer ses anciennes ampoules, bien plus qu'à la puissance en watts (W), qui varie considérablement d'une technique à l'autre. Ainsi, avec 1 W, une ampoule traditionnelle produisait 12 lumens, alors qu'une LED atteint plus de 100 !

     

    La qualité de la lumière, quant à elle, se mesure avec deux grandeurs. L'indice de restitution des couleurs (IRC) mesure la proximité de l'éclairage avec la lumière du jour. Plus la valeur s'approche de 100, meilleure est la restitution. L'autre paramètre est la plage de température. La lumière du jour se situe aux alentours de 6 400 °K. Les lampes qui s'en approchent tendent vers la couleur bleue et produisent une lumière dynamique, conseillée pour la cuisine, la salle de bains et le bureau. Les lampes à la température plus basse génèrent une couleur plus chaude, recommandée pour les pièces telles que la chambre ou le salon.

     

    Trois grandes familles de produits prennent la relèv

    • LES LAMPES BASSE CONSOMMATION (LBC)
    • L'HALOGENE A HAUTE EFFICACITE

     

    • LES DERNIERES NEES - LES LED

    Découvrez les avantages et les inconvénients de chacun d'entre eux, dans ce "Guide de la sécurite pour les métiers de l'électricité" publié chez hachette éducation par un électricien de Perpignan.

     Guide de la sécurité pour les métiers de l'électricité, Fauchie/poutou , Hachette éducation, édition.2003


  • Voici un joli livre sur l'agencement et la décoration de salles de bain dans le monde. Les plus belles salles de bains du monde, de Vincenzo Pagano nous offre un panorama de ces salles d'eau : que ce soient celles des plus luxueux hôtels, salles de bains de villa ou de stars d'Hollywood. Il en a même trouvé une magnifique dans une église à rénover !

    Mais le lecteur s'attardera sur la chapitre concernant les revêtements de salles de bain

    Le revêtement de sol de la salle de bains

    Le revêtement de sol de la salle de bains a des exigences particulières qui se verra dans un devis rénovation de salle bain à Perpignan fait par un artisan qualifié... En effet, la salle de bains étant généralement la pièce la plus humide de la maison, le revêtement de sol doit être capable de résister à un environnement très humide. La résistance au glissement est également une caractéristique importante, bien qu'elle ne soit pas toujours prise en compte - vous pouvez presque toujours utiliser un nettoyant antidérapant ou ajouter des tapis ou des carpettes au sol pour limiter les chutes.

     

    Les carreaux de vinyle, le linoléum, le stratifié, les carreaux de céramique et les carreaux de porcelaine font partie des types de revêtements de sol préférés dans les salles de bains, car ils sont faciles à nettoyer et résistent à l'humidité. Bien qu'il soit possible de poser des carreaux en pierre naturelle ou même un plancher en bois dans les salles de bains, ceux-ci ne sont généralement pas préférés en raison de leur coût (pierre naturelle) ou des problèmes d'humidité (dans le cas du plancher en bois).

     

    Le vinyle et le stratifié résistent à l'humidité. Toutefois, si l'on laisse de l'eau reposer sur ces dalles, une certaine humidité peut s'infiltrer entre les dalles et causer des problèmes au niveau du sous-plancher. Les dalles pelables et autocollantes peuvent se détacher si le problème d'humidité persiste. Utilisez un revêtement de sol en vinyle ou un linoléum plutôt que des carreaux si cela vous inquiète.

     La céramique peut supporter plus d'abus que le vinyle, et la porcelaine polie peut généralement supporter plus d'abus que les carreaux de céramique.

     

    Ces matériaux sont utilisables aussi bien pour le plan de vasque, les murs ou les sols (à l'exception du verre non recommandé pour les sols) :

    • les indémodables : céramique, verre, bois, pierre, marbre ou béton ;

    • le tadelakt : un enduit de chaux colorée, cirée et lissée au moyen d'un galet ;

    • les matériaux synthétiques : les résines, le Corian®...

    • la lave émaillée : matériau naturel, très classe, très résistant et aussi très cher.

     

    Les plus belles salles de bains du monde, de Vincenzo Pagano, Editions Place des Victoires, 2009

     


  •  

    À n’importe quelle saison, on retrouve le style vintage partout dans la décoration. Étant un déco phare des années 50 à 60, elle donne le ton à nos intérieurs tout en apportant un petit brin de nostalgie par ci et par là. La décoration vintage se distingue particulièrement par le goût des objets mythiques ou anciens et par le mélange des couleurs foncées et chaudes. Parlant de couleur, on va insister un peu sur l’orange vintage : une couleur tendance dans les années 60 à 70. Démonstration !

    L’orange dans la décoration vintage

    En matière de décoration intérieure, l’orange est la couleur parfaite pour donner bonne mine à la chaque pièce. C’est une couleur raffinée et subtile qui a su métamorphoser la décoration des seventies. En peu de temps, il est devenu la couleur emblématique et semble être parfait pour créer un style vintage pop. En tout donc, l’orange permet de donner de la valeur aux couleurs les plus neutres et se distingue parmi le reste au côté des couleurs foncées. Il nous rappelle les mobiliers rétro en plastique ou synthétiques aux formes arrondies. Et lorsqu’il se décline en orange flashy, il nous fait vivre l’ambiance du Chapeau Melon et Bottes de cuir.

    Comment l’utiliser ?

    L’orange vintage est une couleur très élégante qui permet de valoriser les meubles ou objets déco ayant marqué leurs époques. Même dans les décorations les plus design, il peut devenir un code couleur qui fait exploser la décoration en un seul geste. Si par exemple, vos meubles semblent moins marqués en termes de style, osez l’orange sur les textiles afin de donner plus de dynamisme à votre décor. L’orange vintage est aussi plus visible et intéressant lorsqu’on le contraste avec les teintes chaudes comme le marron, le noir ou le gris. Son éclat s’adoucit au côté du jaune et il devient très chic et épuré au côté des meubles en bois ou wengé.





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique